ABDOU KARIM MECKASSOUA, UN HOMME COMPÉTENT POUR UNE CENTRAFRIQUE FORTE.
Tout porte à croire que le candidat indépendant ABDOU KARIM MECKASSOUA sera le prochain président de la république Centrafricaine. Selon plusieurs sources, il serait pressenti pour être le prochain locataire du palais de la renaissance. Les mobilisations vont bon train dans toute la Centrafrique, les ralliements tant sur le plan national qu'international se font en cascade. Les prochaines alliances ne vont pas tarder à faire leur apparition. Décidément ces derniers jours, les Centrafricains n'ont d'yeux que pour ce candidat qui représente à la fois la fermeté et un exemple parfait d'une réussite légale.
Jamais dans l'histoire de la république Centrafricaine, une candidature n'a suscité autant d'engouement. Les jeunes se bousculent pour le soutenir, les politiques reconnaissent, du moins ceux qui sont conscients et courageux qu'il serait l'homme de la situation. En l'état actuel des choses, l'économie Centrafricaine est en lambeau, la cohésion sociale en déconfiture, les investisseurs ont déserté les lieux. Pour pallier à cette problématique, il faut un homme de réseau doté d'un carnet d'adresse pour inciter les bailleurs à revenir investir en Centrafrique.
Redonner du sourire aux Centrafricains, MECKASSOUA est pratiquement l'un des rares candidats qui soit capable de le faire. Sa gestion rigoureuse des ministères qu'il a été à la charge a permis aux Centrafricains de jauger l'état d'esprit du prochain président qui les gouvernera. L'homme au delà de tous les soupçons, des clivages nord-sud, clairement un homme qui s'inscrit dans une dynamique de restauration de l'autorité de l'Etat. Tous les voyants sont au vert pour KARIM MECKASSOUA.
Bientôt les choses changeront en Centrafrique, la corruption, la gestion clanique et despotique n'auront plus leur place. Le peuple doit retrouver son pouvoir d'achat afin d'user de ses droits et libertés fondamentaux à savoir, la liberté d'aller et venir par exemple. Les Centrafricains ont compris que la crise en Centrafrique n'était pas confessionnelle, mais plutôt politique. L'instrumentalisation est terminée, un homme qui fera l'unanimité. Sa candidature est soutenue massivement par les jeunes, musulmans, chrétiens, animistes, athées et Kimbaguistes de Centrafrique. Pour le bonheur du peuple Centrafricain, permettez moi de vous présenter l'HOMME. Ou plutôt VOILA L'HOMME. ZO NI LA, le chemin de l'espérance Meckassoua.
NGANABALOUM ANDRE
Observateur Politique