EN ATTENDANT SON INVESTITURE LE CAMP DE FAUSTIN ARCHANGE TOUADERA SE RENTRE DEDANS

Publié le par TAKA PARLER

FAT
FAT

Un adage populaire nous enseigne que l’argent est le nerf de la guerre et est vecteur de division et cela s’est vérifié ces temps-ci dans certains milieux politiques en cette période de processus électoral où toutes les énergies sont concentrées pour remporter les élections en cours si le nom du président de la république démocratiquement élu est connu, il reste cependant ceux des législatives dont les candidats admis au second tour doivent repartir sur le terrain pour solliciter le suffrage universel des compatriotes

Certes, les Centrafricains ont massivement voté leur président de la république mais des malentendus sont créés dans son camp à cause de l’argent, toujours l’argent le bon maitre et mauvais serviteur.

Au lendemain de son accession à la magistrature suprême de l’Etat, les membres de la coordination de sa campagne électorale ne s’entendent plus pour des raisons interquartiles. Une guéguerre interne qui pourrait avoir des répercussions malencontreuses sur le président élu. Le peuple qui l’a élu n’à pas besoin de vivre un spectacle aussi ahurissant auquel se livre son entourage immédiat.

Il est attesté que Faustin Archange Touadéra est élu pour son intégrité, la transparence dans la conduite des affaires de l’Etat, et de son sens élevé du devoir National. D’où vient que l’entourage se met en travers des valeurs intrinsèques avérées. Il se raconte que le président de la République aurait remis une certaine somme d’argent à la coordination Générale pour être répartie entre les membres de la coordination locale pour les efforts consentis pendant la campagne électorale.

Malheureusement l’argent aurait pris la direction de langue poche des certains membres du bureau de la coordination Générale au risque de susciter la colère de ce beau monde qui n’à que ses yeux pour pleurer. Ils sont tous devenus inconsolables et appellent à l’arbitrage de Faustin Archange Touadéra ou encore de sa dynamique direction national de campagne que dirige le professeur Simplice SARANDJI.

Au regard de ce malentendu créer avant son investiture, l’homme de la rue s’interroge de savoir ce qu’adviendra la gestion de TOUADERA qui prendra les règnes du pouvoir dans quelques jours ? Ces partisans doivent être rappelés à la retenue, faire table rase des différents et querelles intestines, à la conséquence fâcheuse pour le nouveau pouvoir. Car dit-on, des petits actes peuvent produire d’énormes effets pervers. Personne ne souhaite que cela ne se produise.

Les membres de la coordination Générale doivent gérer avec intelligence ceux de la coordination locale qui dépendent de leur clairvoyance dans la gestion des fonds qui leurs sont alloués.

GHISLAIN FOCKY MAISON

Publié dans Opinions

Partager cet article

Repost0

Commenter cet article