FAUSTIN ARCHANGE TOUADERA DE LA VICTOIRE A LA FORMATION D'UN GOUVERNEMENT COLLEGIAL.
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A en croire les images, le club des 23 candidats qui ont prêté mains fortes au professeur président de la république ne le lâchent plus d'une semelle. On se croirait dans une fête foraine ou les enfantillages sont en permanence pour amuser les participants. Faut-il attendre la passation de pouvoir pour se mettre au travail ? Tous ceux qui gravitent autour du professeur désormais président ont déjà ou au moins une fois servi l'Etat à ce titre ils doivent se retrousser les manches et se mettre à orienter une politique sécuritaire ou économique pour aider leur mentor. Selon une source proche du professeur , les candidats qui forment le club des 23 jouent bal au pied pour le partage du gâteau. Chacun aurait déjà sa petite idée sur tel ou tel ministère qu'il occuperait. Faustin Archange Touadera aurait-il du mal à s'en débarrasser ? On les voit partout , au domicile du professeur désormais président , en Guinée Equatoriale, au Congo Brazzaville lors des voyages officiels comme disent les médias internationaux.
Ca commence à être lourd, toujours selon la même source qui nous rapporte des scènes surréalistes et insolites qui se sont produites ces derniers jours. CHARLES ARMEL DOUBANE aurait rapporté au professeur président que l'Elysée le voulait comme premier ministre. TOUADERA en bon démocrate rapporte au reste des candidats qui forment le club des 23. Ces derniers seraient rentrés dans tous les états, d'autres seraient allés plus loin à l'instar de GUY-MOSKIT qui réclamerait le Ministère de la sécurité publique et les renseignements. Des revendications qui font froid dans le dos, tout le monde les observe entrain de jouer au chat et à la souris avec le professeur désormais président. Des barbecues géants sont organisés au siège du club des 23 pour séduire le président, d'autres lui feraient carrément les pieds pour espérer avoir un poste.
Le Club des 23 lorgne la primature et les postes ministériels, on peut compter parmi ces postes convoités, la primature, le Ministère de la sécurité publique, le Ministère des Finances et bien d'autres encore. Notre professeur national pourra t-il faire face à ce déferlement ? Selon Jeune Afrique le professeur ne serait pas un homme de poigne donc s'en débarrasser risquerait de prendre un peu plus de temps. Un président se doit d'être concentré tant bien qu'il ne soit pas encore investi officiellement mais un peu de hauteur dans la fonction présidentielle. On est ou la ?
KARABE MATHIEU
OBSERVATEUR POLITIQUE