BIOGRAPHIE SOMMAIRE DU CANDIDAT KARIM MECKASSOUA
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Karim MECKASSOUA est un fils de Centrafrique, centrafricain et banguissois dans l’âme.
Né le 31 décembre 1953, à Bangui, au quartier KM5. Il a grandi au KM5. Il vit au KM5.
Grand voyageur, il ne peut néanmoins rester longtemps loin de ses racines. Chaque fois qu’il le peut, il regagne au plus vite Bangui, sa terre natale. Car de tous les lieux qu’il a connus, c’est au quartier Sambo qu’il se sent véritablement lui-même et qu’il se ressource parmi les siens.
Karim est le troisième fils d’une famille monogame de six enfants, quatre filles et deux garçons. Papa MECKASSOUA ne savait ni lire, ni écrire. Mais malgré ce manque d’instruction, il avait très tôt compris l’importance de l’école. Homme de conviction, il fit le tour des voisins et des amis pour les convaincre d’envoyer les enfants à l’école. En homme simple mais avisé et plein de bon sens, il avait découvert la clef du succès : le savoir et la connaissance. C’est pourquoi il a toujours suivi avec beaucoup d’attention les études de ses enfants.
En 1960, Karim entre à l’école Route 37 qui deviendra plus tard l’école Koudoukou. En 1966, il obtient son tout premier diplôme : le certificat d’études primaire et élémentaire (CEPE), dont il est aujourd’hui très fier. Il a poursuivi les études au lycée Barthélémy Boganda, puis au lycée des rapides de Saint Paul. Il y obtient facilement son BEPC puis le baccalauréat trois années plus tard.
Enfant, Karim n’a jamais manqué de rien. Papa MECKASSOUA, commerçant au sein d’une famille centrafricaine typique, aimant ses enfants et voulant leur réussite n’a lésiné devant aucun moyen pour satisfaire les besoins des siens. Avec ses frères et sœurs, Karim a bénéficié outre de la chaleur d’une famille unie, de l’affection de ses parents, de l’autorité d’un père bienveillant et de la tendresse d’une mère très aimante.
Karim était comme tous les jeunes de son âge, insouciant mais confiant dans l’avenir. Ses accoutrements de l’époque pouvaient en témoigner. Il était aussi très sportif pratiquant à la fois le football et la Boxe. Boxeur au club de Fatima, il sait encaisser des coups, les esquiver, et mais aussi parfois en donner. Non violent mais quand il est dans son droit, il sait les faire prévaloir.
Le baccalauréat de la série A4 en poche, Karim obtient une bourse nationale pour étudier en France où il a fréquenté plusieurs universités et instituts supérieurs de formation. Le diplôme de doctorat de troisième cycle en ergonomie lui a permis d’être enseignant chercheur dans l’équipe du Pr Alain WISNER au laboratoire d’ergonomie du Conservatoire National des Arts et Métiers à Paris. Mais voulant très vite devenir indépendant, il ouvre un cabinet de consulting agréé par le Ministère français du travail, spécialisé dans le domaine de santé et de la sécurité au travail, de l’organisation du travail et de la production. Sa compétence très vite reconnue, lui vaut très jeune de travailler pour de grands groupes : EDF (Electricité de France), différents centre de production dont des Centrales nucléaires, AEROPORT de Paris reconfiguration des systèmes d’enregistrement (Banque et logiciel), Nouvelles messageries de presse.
Son engagement politique pour la cause du peuple centrafricain s’est affirmé dès l’université. Il consacre tout son temps libre au militantisme pour la défense des intérêts matériels et moraux des étudiants centrafricains en France au sein de l’UNECA (Union nationale des étudiants centrafricains) avec des compagnons comme Pr Jean Paul NGOUANDE, Maître Assingambi ZARAMBAUD entre autres.
En 2003, il épouse Madame Annick Laure BOGANGABE à Noisy-Le-Grand. Elle-même centrafricaine, originaire de Paoua (Ouham Péndé), est chirurgien-dentiste implantologue. De cette union sont nés trois enfants : deux filles et un garçon.
Ministre d’Etat, plusieurs fois membre du Gouvernement, Karim est le père de nombreuses réformes pour l’intérêt du peuple centrafricain. Il accepte volontiers le surnom qu’on lui donne : «M. Audit» tant il veut lutter contre la corruption, la concussion et les détournements des biens publics.
Modéré, Karim MECKASSOUA est avant tout un homme de compromis qui sait jouer les bons offices pour non seulement rassembler ceux que tout oppose mais également pour rapprocher les points de vue. Discret à souhaits et fin négociateur, ses compatriotes ont pu apprécier ces talents en tant que Ministre des Affaires Etrangères lorsqu’il a ainsi pu faire reconnaître la République Centrafricaine au moment où le pays en avait tant besoin.
Actionnaire et administrateur de plusieurs sociétés en Afrique, Karim MECKASSOUA est titulaire de nombre de distinctions honorifiques dont la plus importante est celle de Grand Officier du mérite centrafricain.
CELLULE DE COMMUNICATION DE MECKASSOUA